Tony Scott est un personnage à l’attitude résolument rock’n’roll ; le premier d’ailleurs à qualifier son cinéma de punk. Tout au long de sa carrière, on ne cessa de le renvoyer à son style et à ses manières de « faiseur » présumé. Mais de succès en échecs, une œuvre commençait à poindre. Dans ces pages, Aubry Salmon tente d’analyser la force indéniable de la démarche de Tony Scott, cinéaste plus cohérent qu’on a bien voulu l’admettre, ainsi que les puissantes percées thématiques qui ont traversé son œuvre.

SOMMAIRE

1. Avant propos : Pourquoi Tony Scott
2. L’homme à la casquette rouge
3. On ne peut aller plus vite que le tonnerre : 
4. De grandes espérances : One of the missing, Loving Memory, L’auteur de Beltraffio
5. Bela Lugosi est mort : Les prédateurs
6. Faire le vide : Top Gun
7. Comédie californienne : le flic de Beverly Hills 2
8. Balade mexicaine : Revenge
9. Regarde ce fou qui danse : Le dernier samaritain
10. Balade sauvage : True Romance
11. Cartes postales d’Alabama : USS Alabama
12. Sur la piste des géants : Le Fan
13. Les yeux grands fermés : Ennemi d’État
14. Tempête dans un cerveau : Spy Game
15. Plus fort que le diable : Man on Fire
16. Contre le monde : Domino
17. Contre le temps : Déjà Vu
18. 99 problèmes : L’Attaque du métro 123
19. Fin de transmission : Unstoppable